La police municipale : groupe nominal autour duquel la phrase est construite : c’est sur La police municipale que l’affiche communique. C’est le point autour duquel tourne tout le contenu textuel. La police est une notion renvoyant à un grand nombre de signifiés, c’est-à-dire de lectures et d’interprétations possibles. Centraux dans la vie sociale, la police est l’objet de multiples représentations et le mot police interpelle ainsi les individus de manière hétérogène selon les critères sociaux. On peut ainsi penser classiquement à l’État, la sécurité, la protection, le maintien de l’ordre public et de la loi, mais on peut aussi estimer que le mot police peut évoquer la répression voire le quotidien, une figure « ennemi » et liberticide, instrument de l’État. Le mot municipal renvoie à la mairie. La précision est décisive puisque jusque là la police municipale n’était pas dotée d’armes à feu. Elle peut évoquer la proximité, une police moins dangereuse, aux prérogatives régaliennes moindre et aux rôles différents de la police nationale. L’ensemble la police municipale précise donc de qui il s’agit et renvoie à diverses connotations, notamment et surtout autour du mot police. Un nouvel ami : groupe nominal, complément d’objet direct. Le signe ami est donc le composé du signifiant (l’ensemble de sons et de lettres qui porte un sens) et du signifié « personne pour laquelle on éprouve de l’amitié, de l’affection ». Mais plusieurs couches de lecture, et ainsi l’ami peut être celui qui protège, qui aide, qui soutient… L’ami est une personne, un animal ou un objet qui vient apporter de l’affection.
Points d’accroche
Contredire est un acte qui consiste dans le fait d’affirmer ce qu’un autre nie, ou nier ce qu’un autre affirme.
Corpus de texte: ChateauBriand
Chateaubriand est un auteur français né en 1768 et mort en 1848. Grand voyageur, il voulait absolument marquer son passage en Amérique. Il y passa un peu moins d’un an. Sa vie fut jonchée d’expériences de toutes sortes allant d’un carrière militaire à une carrière politique, en passant par une vie dans un grenier en Angleterre en tant que professeur de français et traducteur pour libraire, et un voyage en Orient.
Discours de la méthode
Introduction: Le discours de la méthode témoigne de la confrontation caractéristique de l’époque de Descartes entre un scepticisme hérité de Montaigne et une science en train de se constituer de manière incontestable: la physique reposant sur la méthode expérimental( Galilée, Toricelli, Pascal,...). L’homme est il capable d’atteindre la vérité et de fonder sur cette connaissance une existence sensé ou bien ne pouvant atteindre aucune certitude, est il condamné soit à ne pas agir, soit à se conformer aux moeurs de son temps sans jamais savoir si son action est vraiment bonne? Descartes fait en philosophie l’objet de sa recherche. Mais cet objet n’a toute sa valeur que parce qu’il est articulé à l’existence: «Apprendre à distinguez le vrai d’avec les faux pour voir clairs en mes actions et marcher avec assurance en cette vie.» La théorie n’a de valeur qu’en tant qu’elle est aussi une pratique, c’est-à-dire une réflexion sur les principes de l’existence et de l’action. C’est pourquoi Descartes proposera l’image de l’arbre pour figurer l’articulation organique des sciences entre elles. Ainsi le chemin qu’il faut suivre lorsque l’on veut connaitre vraiment
Les années 70 marquent une forte rupture dans un cycle de croissance qui a débuté dès l’après-guerre (1945) et à partir de ces années commence une nouvelle période de récession, de très forte instabilité – le terme de « crise » étant assez inapproprié.